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19/01/22 - Rencontre mensuelle "Vers des campagnes alternatives ?"

Description En prolongement de nos interrogations sur le développement et le sens des éco-lieux pour l'Adaptation Radicale (septembre 2021), cette prochaine rencontre avec Claire Desmares-Poirrier, paysanne-libraire, autrice de "L'exode urbain. Manifeste pour une ruralité positive" et Geneviève Pruvost, sociologue EHESS, et autrice de "Quotidien politique. Fémininisme, écologie, subsistance" , devrait nous permettre d'approfondir comment le réinvestissment de l'espace rural peut contribuer aux logiques de l'Adaptation radicale pour faire face à l'effondrement.

Guillaume Faburel sera également présent en qualité de Grand Témoin.
Il est l'auteur de deux livres sur le sujet ("Les métropoles barbares" et "Pour en finir avec les grandes villes" ) et à l'initiative des États-Généraux du Post-Urbain.
https://www.post-urbain.org/

Participer à la réunion Zoom
https://us06web.zoom.us/j/85639994366?pwd=dm9PcHY0dmZSWjN3OGdmMTZvN0xtUT09

ID de réunion : 856 3999 4366
Code secret : 993412
Début de l'événement 19.01.2022 - 19:30
Fin de l'événement 19.01.2022 - 21:30
Horaire 19h30 à 21h30
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Clémence

Mon témoignage “Dans quarante ans, on est tous foutus”; “On arrive en haut de la courbe de croissance. Si ça continue comme ça, c’est impossible de s’en sortir”; « Avec deux degrés de plus, c’est des inondations, des tempêtes, des réfugiés climatiques et des crises politiques sans précédent.” Nous sommes attablés au restaurant universitaire, avec mon groupe d’amis de la faculté et les phrases fusent au fil de la discussion. Ces mots, je les entends de plus en plus dans les discussions entre potes, en repas de famille, au café.

Elles paraissent anodines et, pourtant, leur accumulation provoque un sentiment grandissant: l’éco-anxiété, ou solastalgie.

Qualifiée de sentiment de détresse face au dérèglement des écosystèmes, cette éco-anxiété se manifeste par des insomnies, un sentiment de tristesse et de colère perpétuels, et crée des “climato-déprimés”. Autour de moi, il y a des fans de Jancovici et de ses graphiques déprimants, des anti-nucléaires, des personnes qui prévoient déjà leur vie dans un écovillage ou une ZAD (zone à défendre). Le constat perpétuel apporté par les différents rapports écologiques apporte une vision du futur bien sombre.

Un peu plus tard, pendant que je marche sous la pluie, des gouttes dégoulinant sur mon ciré, je lève les yeux et observe le grand panorama vert que le bocage normand offre à chacun de ses habitants. La campagne, pour un Parisien, c’est plein de clichés: il n’y a que des filles ou des fils d’agriculteurs, pas de transports, et c’est très bien pour un week-end ou une petite semaine seulement. Pour moi, y avoir grandi me permet de faire face aux constats écologistes alarmants, aux discussions déprimantes avec des amis militants, et m’a donné toutes les clés pour anticiper les modes de vie alternatifs, qui deviendront essentiels dans les années à venir.

Avant de partir pour les études et la faculté, c’est en Normandie que j’ai eu la chance de grandir. Mes journées étaient rythmées par la gestion des chevaux de la maison, par les horaires aléatoires des bus, et par les animaux en tout genre. Ainsi, s’il paraît aujourd’hui difficile de se protéger psychologiquement de ces différents constats écologistes, j’ai réussi à retirer du positif dans tous les bilans apportés par mon entourage. Tout d’abord, des solutions existent: les écovillages fleurissent un peu partout en France, proposant une autosuffisance, un modèle économique alternatif et une vie communautaire très active.

Cette vie se rapproche de ce que j’ai appris naturellement en grandissant en pleine campagne: manger les aliments cultivés soi-même, savoir vivre en hameau ou tisser des liens avec les habitants proches. Alors qu’en ville, il est compliqué de dire simplement bonjour à ses voisins, la vie en campagne est faite d’entraide, de partage, de mutualisation de boîtes d’œufs et de bouteilles de lait, de nuits passées à plusieurs près du vétérinaire venu assister un vêlage. C’est pouvoir se réveiller le matin dans un silence total, loin des klaxons de la ville.

Petite, le matin, je marchais dans les cailloux et la rosée pour aller prendre mon bus. Le soir, on rentrait entre enfants des trois ou quatre familles du hameau pour aller partager un goûter collectif, puis retourner chez soi aux alentours de 19 heures. Nous n’étions jamais seuls, nous partagions des travaux – comme la décoration de notre abribus en Marsupilami – et cette proximité acquise durant toute notre enfance nous a toutes et tous marqués.

Mes amis prévoient leur futur face à l’effondrement
Mon enfance est un véritable remède face au constat alarmant de mes amis. Je me sens déjà prête, habituée au quotidien de la vie en autonomie, presque en autosuffisance. Même si le supermarché n’est jamais très loin : la voiture reste nécessaire à un habitant de campagne, preuve que les solutions pour une autonomie complète ne sont pas encore totalement trouvées.

Mes amis prévoient déjà leur futur face à l’effondrement : Théo pense aller vivre en écovillage ou en ZAD d’ici vingt à trente ans, après des études et un métier lui permettant d’économiser assez pour y vivre plusieurs années. François se renseigne sur les formations d’horticulture et de gestion de jardin, lui qui a toujours grandi en milieu urbain. Et moi? Le journalisme est un métier facilement compatible avec la vie en communauté et une aide manuelle : savoir se renseigner sur la source de ses informations, pouvoir préparer des supports pédagogiques pour les habitants à venir, apporter à chacun l’actualité dans un monde où l’information continue ne sera peut-être plus possible. En attendant tout ça, vivre à Paris est une expérience hors du commun, et mes acquis ruraux ne sont jamais loin pour rester détachée de toute l’agitation urbaine.

Consciente de tous les enjeux environnementaux qui se jouent actuellement, maîtrisant les graphiques et les rapports sortant quotidiennement, mon enfance à la campagne est un véritable rempart contre la déprime écologique, un antidote apportant une réelle positivité. Contrairement à des amis urbains réellement paniqués de ne pas être utiles le jour J, je garde dans un coin de ma tête toutes mes connaissances. Cela me permet de rester constamment fixée sur mes objectifs de vie… et d’être consciente des changements climatiques des années à venir.

Sensible à l’écologie, Nicolas a lui aussi décidé de changer ses habitudes de consommation. Il raconte comment il est passé de végétarien à “détritivore”.


LA ZEP
Le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) a publié six rapports d’évaluation depuis 1990, dont le dernier, révélé en août 2021, est des plus alarmants. Parallèlement, le nombre de consultations psychologiques liées à l’éco-anxiété a augmenté. 85 % des Français, en 2018, se déclaraient inquiets face aux conséquences du dérèglement climatique.

Savoir déconnecter de ce genre d’informations, revenir à la terre et à la nature comme on peut le faire hors des villes, permet de rester presque imperméable aux effets que peuvent avoir ces articles sur notre joie de vivre. Les modes de vie alternatifs s’imposeront à nous quand il le faudra. Pour le moment, il faut aussi savoir se protéger des constats alarmants, même si cela n’empêche personne de s’interroger sur sa capacité à savoir cultiver des pommes de terre le moment venu.



Ce billet provient des ateliers d’écriture menés par la ZEP (la Zone d’Expression Prioritaire), un dispositif média d’accompagnement à l’expression des jeunes de 15 à 25 ans qui témoignent de leur quotidien comme de toute l’actualité qui les concernent.
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Climat : « Les COP sont condamnées à ne jamais se terminer »

Résumé Le réchauffement est irréversible et nécessitera de garder un forum de coopération sur le sujet, explique le spécialiste des questions de géopolitique de l'environnement François Gemenne aux « Echos ». Mais il prévient qu'il ne faut pas attendre des sommets de l'ONU sur le climat qu'ils fassent baisser les émissions de gaz à effet de serre.
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COP BLAH BLAH BLAH

Résumé Le "Pacte de Glasgow" ne convainc pas. Après la conclusion d'un accord samedi à la COP26 qui se tenait dans la ville écossaise, la militante suédoise Greta Thunberg a déploré que la conférence se soit résumée à du "bla, bla, bla", reprenant des accusations qu'elle avait déjà adressées aux dirigeants du monde.
Billet https://www.bfmtv.com/environnement/climat/pour-greta-thunberg-la-cop26-s-est-resumee-a-du-bla-bla-bla_AD-202111130275.html

https://www.20minutes.fr/planete/3171327-20211113-cop-26-greta-thunberg-conference-resumee-bla-bla-bla

ce qui confirme les craintes anticipées déjà exprimées au début de la COP26 : https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/cop26/cop26-du-bla-bla-bla-un-grand-cirque-pour-les-jeunes-militants-rassembles-au-royaume-uni_4832949.html

Et cet article qui dit la déception du Président de la COP26 à sa signature : https://www.huffingtonpost.fr/entry/cop26-emotion-de-son-president-alok-sharma-decu-par-le-pacte-de-glasgow_fr_61904623e4b0c621c5cdcbd9

et encore et encore :
- Cop26 : Greta Thunberg a fait le meilleur résumé du Pacte de Glasgow : bla, bla, bla... : https://www.huffingtonpost.fr/entry/cop26-greta-thunberg-a-fait-le-meilleur-resume-du-pacte-de-glasgow_fr_61903535e4b06c5987c85a89
- https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/greta-thunberg/cop26-le-bilan-de-la-conference-mondiale-sur-le-climat-est-tragique-juge-delphine-batho_4846223.html
- Réchauffement climatique : voici à quoi il faut s'attendre avec la hausse estimée à 2,7 °C après la COP26 : https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/rechauffement-climatique-voici-a-quoi-il-faut-s-attendre-avec-la-hausse-estimee-a-2-7-c-apres-la-cop26_4845901.html
- COP26 : le gâchis et la déception d’un accord minimal : https://reporterre.net/COP26-le-gachis-et-la-deception-d-un-accord-a-minima
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COP : Le cynisme des dirigeants...Destructeurs.

Résumé C'était déjà au temps de la COP21... Delphine Batho, en amont de la COP de PAris, Ministre de l'Ecologie, du développement durable et de l'énergie du gouvernement Hollande, savait... et elle a pu le dire dans son livre "Ecologie intégrale. Le manifeste"
Billet "Ceux qui gouvernent, en France, comme partout ailleurs dans le monde, ne
sont pas victimes de la dictature du court terme qui les empêcherait de porter
leurs regards vers l’horizon.

En fait, ils savent que, pour une part, il est trop tard. Dans les cénacles des
chefs d’État et des gouvernements, avant même la COP21, nombreux sont ceux
qui considéraient qu’il n’y a strictement aucune chance de limiter le
réchauffement planétaire à 2 °C. Les ruptures nécessaires avec notre modèle
économique sont telles qu’ils les déclarent hors de portée. Au mieux, on estime
que, quand bien même notre Nation serait exemplaire au prix d’un effort
surhumain, de toute façon les autres pays ne s’engageront pas sur la même voie.
Toutes les paroles officielles sur le climat sont ainsi fondées sur un mensonge.
C’est la raison de leur discrédit." (p.20)
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Les entreprises privées ont saboté la COP26 ? À nous d’agir

Résumé Les entreprises privées ont saboté la COP26 ? À nous d'agir
Dénonçant l’influence des entreprises à la COP26 et l’échec de ce sommet, quelque 200 universitaires internationaux demandent dans cette lettre de prendre des « décisions plus radicales ». Et appellent à une « révolution verte » face à l’urgence climatique.
Billet Plus de 200 universitaires du monde entier ont critiqué la mainmise des entreprises sur le sommet climatique de Glasgow et appellent à une véritable « révolution verte » pour atténuer l’effondrement des sociétés. Après la publication du projet de décision globale de la COP26 de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), ils ont signé une lettre publique. La liste complète des signataires, issus de plus de trente pays, figure ci-dessous.

https://reporterre.net/Les-entreprises-privees-ont-sabote-la-COP26-A-nous-d-agir
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Objectif - une transition systémique et radicale !

Résumé La lettre d'information de Novembre des Colibris est en écho de notre volonté de transition systémique et radicale...
Billet

Faire ensemble n'est plus une option !


À l’occasion de l'ouverture de la COP26 aujourd'hui à Glasgow en Écosse, l’Organisation météorologique mondiale a émis un nouveau bulletin alarmant : les concentrations de gaz à effet de serre sont au plus haut dans l’atmosphère, et l’Amazonie perd de sa capacité à absorber le CO2. Résultat : « Si nous continuons à utiliser les ressources fossiles de manière illimitée, nous pourrions atteindre un réchauffement d’environ 4°C d’ici à fin du siècle ».
Assez ! N’attendons pas les puissances politiques et financières de ce monde mortifère pour agir. Une profonde mutation du système thermo-industriel est possible.

http://r.news.colibris-lemouvement.org/mk/mr/hdxoRasyC_rX18uqTQ_rwE-1IrLmwQSuVUrMU8JTrSqIBd5RNPmjm3VnJsmFWci4OfWJCIeV2936AqfzMiK663Eiuwnwr4N_mkqfaNX27YHImgrIcUhzjbApYUg5qIiW1t-baHMgCKtZIeu6wF7ZXUc
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Qu'est ce que l'éco-anxiété, un mal qui touche surtout les jeunes ?

Résumé Incendies, inondations, sécheresses... Le changement climatique secoue le monde depuis plusieurs années. Outre ses effets directs, ce dérèglement impacterait la santé mentale de nombreuses personnes, en particulier les jeunes générations.

Une étude publiée mi-septembre par la revue The Lancet, montre que plus de 50% des 16-25 ans interrogés se sentiraient tristes, anxieux, en colère, impuissants et coupables face au réchauffement climatique, tandis que 75% jugent l'avenir « effrayant ».

La désillusion face à la crise climatique se symbolise aujourd'hui par le concept d'éco-anxiété.

22/09 - Sortie cinéma : une fois que tu sais

Description Confronté à la réalité du changement climatique et à l’épuisement des ressources, le réalisateur Emmanuel Cappellin prend conscience qu’un effondrement de notre civilisation industrielle est inévitable. Mais comment continuer à vivre avec l’idée que l’aventure humaine puisse échouer ? En quête de réponses, il part à la rencontre d’experts et de scientifiques tels que Pablo Servigne, Jean-Marc Jancovici ou Susanne Moser. Tous appellent à une action collective et solidaire pour préparer une transition la plus humaine possible.

Une odyssée qui touche à l’intime et transforme notre regard sur nous-même et sur le monde pour mieux construire l’avenir.

Une fois que tu sais, qu’est-ce qu’on fait ? Du film à l’action

Pour donner envie d’agir face aux effondrements en cours, un accompagnement est offert au public avec des animations dédiées dans les salles et un Guide de 150 actions concrètes. Plus d’informations sur racinesderesilience.org.

Découvrez également la campagne Zone Sauvage de l’organisation « On Est Prêt » , partenaires actifs du film d’Emmanuel Cappellin

https://www.nourfilms.com/cinema-independant/une-fois-que-tu-sais/
Début de l'événement 22.09.2021
Fin de l'événement 03.10.2021
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« T'inquiète on gère » ... COP Bla Bla Bla

Edito La COP 26 s'est terminée à l’inverse de celle de Paris, par les larmes de son président Alok Sharma ne cachant pas sa déception du résultat, s'excusant et se disant désolé. Sans doute est-ce sincère, à la mesure des attentes et des enjeux déçus, à la mesure des croyances investies depuis des années par les populations attentives et savamment entretenues par ces discours politiques auto-justifiés. Comment ne pas non plus succomber aux analystes, experts, envoyés spéciaux déployant dans des élans de positivité, et de complicité parfois, un art de traquer les petites phrases et avancées « significatives » qui permettraient d'espérer jusqu'à la prochaine COP… jusqu’à ce qu’il apparaisse clair que la réalité tourne le dos aux objectifs, que les courbes des émissions continuent à croitre... Alors des larmes de crocodile sincères ? !

Faut-il embrayer dans ce sens, chercher à lire entre les lignes une lueur d'espoir alors que l'horizon de la « catastrophe » est déjà là ? Où faut-il à la manière de Greta Thunberg résumer par un « COP blablabla » ?
On peut aussi écouter Adélaïde Charlier, porte-parole francophone du mouvement Young for climate en Belgique interviewée par Pierre-Paul Renders dans sa série de podcast « Des arbres qui marchent », qui se moque avec une férocité adorable et lucide des dirigeants politiques comparés à des ados répétant « T'inquiète on gère… » (voir ici : https://www.youtube.com/watch?v=ERHge4r3Vns&t=26m05s)


Alors, si nous n'avons plus le dispositif des COP pour espérer que nous reste-t-il ? Oui c'est bien la question ; et celle-ci peut nous révèler que la terre se dérobe sous nos pieds. On comprend alors comment ce qui peut apparaitre comme une impasse de la voie politico-diplomatique peut être une source de l'éco-anxiété chez les jeunes en particulier. Elle remplit davantage encore les cœurs et les esprits, que les colonnes des journaux égrenant cette vérité dérangeante que les deux tiers des jeunes ne font pas confiance aux dirigeants pour régler le problème climatique et qu'ils mentent.

Peut-on régler le pb ? Ne faut-il pas s'adapter radicalement, bifurquer ?!
Date 18.12.2021
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